Arts et déplacements plus que durables: https://www.lescheminsdetraverse.net/actus/6672e7d8517a851f41d8cd79
De plus en plus, les services publics sont organisés en unités indépendantes, avec comptabilité propres. Cela n'empêche pas des flux financiers de subventionnement, parfois croisés. Toutefois, cette façon de travailler est problématique: ajuster un flux entre deux boîtes noires ne permet pas de réfléchir sur la globalité de l'impact. Par exemple, assainir l'AI a chargé le chômage, puis les services sociaux des communes. Ou, assainir la caisse de pension neuchâteloise s'est fait sur le dos des assurés (70% de l'effort) puis se fera ces prochaines années par les employeurs para-étatiques, vraisemblablement à budgets constants. Ou encore, la pensée Trump: tu me fais concurrence, je te taxe: mais je ne tiens pas compte du fait que ce que tu me livrais de manière efficace, mon industrie en avait besoin. Ou encore: résilions les bilatérales. Ou le scandale Car postal. Ou le scandale des moteurs truqués. Ceux qui prennent les décisions devraient tenir compte du plus possible d'effets indirects et d'interactions entre sous-systèmes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Cybersyn
politique échanges schtrumpf commerce budget économie utopie
Parce qu'il n'avait déjà pas compris pourquoi il devait, lui, le grand Président, renouveler tous les 6 mois la confirmation que l'Iran est sur le bon chemin https://factualuprising.com/security-and-military/president-trump-decertifies-iranian-compliance-nuclear-deal-despite-confirmation-compliance-international-atomic-energy-agency/ -- il ne peut pas comprendre non plus pourquoi sa flemme ne devrait pas avoir d'importance par rapport aux intérêts du monde. Bah, peut-être que cela précipitera la reconnaissance de Jérusalem-est et d'un Etat palestinien par quelques rares Etats courageux, eux?
Je soutiens la campagne de financement participatif https://bonpourlatete.com/
liberté information démocratie politique participatif social société utopie
Avec 3% du chiffre d'affaires (pas du bénéfice) des multinationales, financer un fond permettant de mettre sous tutelle un Etat jugé en situation catastrophique par 2/3 des pays de l'assemblées générales. Un mandat serait confié à un pays neutre expérimenté dans la reconstruction (Suède, Suisse), avec le but de (re)construire les infrastructures publiques de base du pays. L'effort serait effectué en priorité par des entreprises locales (de l'Etat concerné) ou régionales (créer/renforcer un écosystème régional). La formation de cadres de cet Etat serait également encouragé, par tirage au sort. Le mandat serait limité en durée, et à chaque expiration du mandat, une évaluation internationale et un nouveau vote de l'AG ONU serait nécessaire: le but ultime serait l'autonomisation de l'Etat concerné. L'Etat concerné pourrait refuser l'intervention internationale: il présenterait ses arguments à l'AG et un deuxième vote interviendrait.
Depuis quelques générations, des conseillers fédéraux UDC ont été en charge de l'armée suisse. Si certains de ces conseillers ont effectivement mené des réformes intéressantes (Armée 95, Armée XXI) et notamment analysé de manière bien plus complète les menaces sur la sécurité en Suisse, on doit constater que le parti UDC, soit considère ses propres conseillers comme des demis-conseillers fédéraux, ou nous afflige d'incapables. De plus, être UDC c'est ne pas réussir à réunir des majorités suffisantes pour soutenir les réformes nécessaires. Il faut donc arrêter avec cette croyance qu'un conseiller fédéral UDC nuira le moins à l'armée, et y placer un conseiller fédéral d'un bon parti (PLR), expérimenté et capable de réformer l'armée pour en faire un véritable département de la sécurité générale, n'ignorant pas les nouvelles menaces, en particuliers sur les infrastructures techniques. Ce conseiller fédéral a un nom: Didier Burkhalter, ancien membre de la commission de sécurité.
7 entries so far.
unlimit categories (currently: utopie)