Un certain ex-conseiller du Valais à keutch estime que si son élection était le fait d'élire quelqu'un hors du sérail et donc un hasard, sa non-réélection procédait du même. Il a raison que le vote contestataire peut amener à l'élection d'un candidat indépendamment de ses qualifications; par contre j'estime que sa non-réélection est ici une suite logique de son comportement et des affaires qui ont entaché son mandat. Toutefois, l'ennui est que les votants déçus, une nouvelle fois déçu par un outsider, ne votent plus ... ou votent encore plus extrémistes.
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