Il n'arrive pas souvent que des conseillers fédéraux, en particulier UDC, soient des grands hommes d'Etat. On a plutôt l'habitude de perfideries, de co-rapports et de fuites savamment organisées. Mais, Guy Parmelin, un peu comme Adolf Ogi (en moins dynamique) ou Samuel Schmid (en moins effacé), s'est montré loyal et a pu dépasser son propre parti. Bravo. Je ne m'attendais pas à faire son éloge, mais je le reconnais: il a brillé cette année présidentielle.
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