Le patronat allemand le confirme: en moins de 3 ans, les réfugiés accueillis et formés font maintenant partie de l'économie allemande: le pays, qui souffre d'un taux de natalité trop bas, en avait bien besoin. Etonnamment, le gouvernement italien actuel, pourtant d'un pays au taux de natalité bien insuffisant, semble vouloir suivre le chemin inverse: dés-intégration des réfugiés: suicide sociétal ? Quel dommage.
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